Communication

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2024-04-17

Réaction de la FTQ au budget fédéral

Cliquez ici pour consulter le communiqué officiel sur le site de la FTQ

Retranscription intégrale du communiqué

«La nature ayant horreur du vide, on comprend pourquoi le fédéral agit dans les “champs d’incompétence” de la CAQ» Denis Bolduc, secrétaire général de la FTQ

Montréal, le 16 avril 2024. – La Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ) salue plusieurs des mesures annoncées dans le budget fédéral, comme les investissements dans le logement, l’assurance médicaments ou l’aide alimentaire, et estime qu’il s’agit d’un pas dans la bonne direction pour répondre aux besoins de la population. La centrale considère qu’il est important pour le Québec de protéger ses champs de compétence, mais comprend les actions du palier fédéral face au gouvernement de la CAQ. Pour la FTQ, il faut s’attaquer à la vie chère, à la crise du logement, à l’aide alimentaire, aux soins dentaires ou à l’assurance médicaments. C’est pourquoi Québec et Ottawa doivent collaborer et s’entendre rapidement pour que les milliards de dollars sur la table aident ceux et celles qui peinent chaque jour à joindre les deux bouts.

«La population québécoise souffre encore beaucoup de l’inflation. Se loger est rendu inabordable, la fréquentation des banques alimentaires ne cesse d’augmenter et le phénomène de l’itinérance atteint des proportions alarmantes. Il ne faut donc pas se surprendre que le fédéral réagisse. La nature ayant horreur du vide, on comprend pourquoi le fédéral agit dans les “champs d’incompétence” de la CAQ», déclare le secrétaire général de la FTQ, Denis Bolduc.

«Devant l’urgence actuelle, il faut mettre de côté les chicanes de clôtures. Les deux paliers de gouvernement doivent collaborer pour que l’argent soit utilisé aux programmes auxquels il est destiné et non pour baisser les impôts, donner des chèques cadeaux pour se faire élire ou payer des millionnaires pour venir jouer au hockey», ajoute le secrétaire général.

Aussi, il faut saluer les mesures sur les gains en capital qui visent les mieux nantis. Il s’agit d’une mesure positive, mais beaucoup d’efforts restent à faire, notamment en ce qui concerne la lutte efficace contre l’évitement fiscal et l’évasion fiscale. Soulignons également le 1,5 milliard de dollars qui seront investis en culture et communautés.

Par ailleurs, la FTQ invite les oppositions à faire preuve de bon sens et à travailler avec le gouvernement Trudeau pour une adoption rapide du projet de loi anti-briseurs de grève et une mise en œuvre dès sa sanction royale. Les travailleurs et les travailleuses ne devraient pas attendre 18 mois comme ce qui est proposé à l’heure actuelle. Ottawa doit également bonifier l’assurance-emploi et poursuivre ses efforts pour l’instauration d’un régime public et universel d’assurance médicaments. « Au Québec, le régime hybride (public-privé) est complètement inadéquat. Trop de personnes à faible revenu se privent de médicaments faute d’argent. Il est déjà démontré qu’un régime public et universel permettrait d’économiser plusieurs milliards de dollars grâce à un plus grand pouvoir de négociation. La raison doit l’emporter sur les intérêts des lobbys pharmaceutiques et des compagnies d’assurances », conclut le secrétaire général.

La FTQ, la plus grande centrale syndicale au Québec, représente plus de 600 000 travailleurs et travailleuses.


2024-04-16

PÉTITION – POUSSE, MAIS POUSSETTES ÉGALES

Retranscription intégrale du communiqué

Chères alliées et chers alliés,

Le MAC de Montréal a lancé sa pétition pour faire changer la loi de l’assurance-emploi. Cette pétition s’inscrit dans le cadre de notre campagne Pousse, mais poussettes égales.

Cette campagne vise à interpeller les élu.es afin que les articles de loi qui maintiennent les femmes dans la précarité changent. En effet, lorsqu’une femme perd son congé de maternité pendant ou trop peu de temps après son congé de maternité, elle se retrouve sans revenu. Changer cette situation pour près de 3000 femmes canadiennes par année serait simple pour le gouvernement. Ce dernier reconnait le problème mais refuse d’agir! On est maintenant devant la cour d’appel fédéral avec 6 femmes, dans un combat judiciaire qui dure depuis 2018! Appauvrir les mères, ça va faire!

Merci de signer et de partager la pétition!


Lien :https://www.noscommunes.ca/petitions/fr/Petition/Details?Petition=e-4904&fbclid=IwAR3rNwrKn6g8Z2H3nQDFU2fmclmFvMb_FkCyyo3h2RBArqh3suzMn3ze_TE_aem_AfYIpWB0xz1rO28BGaotAOK1wXEkjoQFgNSsysuDciHHC2fNkjVKsVbaeTInfeZfi3o3m8Otnfp2RKfpiGy48sRc

Solidairement,

Fanny Labelle

Mouvement Action-Chômage de Montréal

https://macmtl.qc.ca/

 

2024-04-15

CPSST - Invitation rassemblement - Jour de deuil du 28 avril 2024

Retranscription intégrale du communiqué


Bonjour à tous·tes,

Nous vous rappelons que le 28 avril est la journée internationale de commémoration des travailleuses et des travailleurs morts ou blessés à la suite d’un accident du travail ou d’une maladie professionnelle.

Le Comité provincial en santé et sécurité du SCFP-Québec vous invite en grand nombre à venir leur rendre hommage le dimanche 28 avril 2024, à partir de 9h.

Voici donc les informations concernant les lieux et déroulements de ces rassemblements :

Rassemblement le 28 avril à QUÉBEC devant l’Assemblée nationale

  • 9 h Discours des dirigeants;
  • 9 h 15 Explication du rassemblement;
  • 9 h 30 Lecture des énoncés;
  • 10 h Minute de silence

Rassemblement le 28 avril à MONTRÉAL

  • 9 h Rassemblement à l’Hôtel de ville de Montréal
  • 9 h 30 Déplacement vers la Grande roue de Montréal;
  • 10 h Minute de silence et discours;

Veuillez vous vêtir de noir pour la mobilisation.

Pour les membres en région et les sections locales qui ne peuvent se déplacer, nous vous invitons à organiser des activités dans vos milieux et à transmettre vos vidéos ou images par courriel à l’attention de Sébastien Duclos à l’adresse courriel suivante: sduclos@scfp.ca.

Nous vous invitons à partager en grand nombre cette information.

Merci de votre habituelle participation!

Comité provincial en santé et sécurité du SCFP-Québec

2024-04-12

Régimes de retraite à prestations déterminées au municipal : la Cour suprême refuse d’aller plus loin

Cliquez ici pour consulter le communiqué officiel sur le site du SCFP Qc

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11 avril 2024

 La Cour suprême du Canada a rendu son jugement ce matin relativement aux demandes d’autorisation d’en appeler du jugement de la Cour d’appel dans le dossier de la loi 15, Loi favorisant la santé financière et la pérennité des régimes de retraite à prestations déterminées du secteur municipal.

Essentiellement, celle-ci a refusé d’entendre le procureur général du Québec ainsi que les syndicats sur la décision de la Cour d’appel qui visait des droits dûment négociés dans les conventions collectives au regard des régimes de retraite des employés municipaux.

« Rappelons que la Cour d’appel avait reconnu qu’il y avait une entrave substantielle à l’égard des droits des participants actifs, mais que le gouvernement était justifié d’agir comme il l’a fait, ce que les syndicats contestaient. La Cour suprême a donc refusé de nous entendre sur cette question. Il s’agit d’une très mauvaise nouvelle, puisque le SCFP demeure convaincu que cette loi était totalement injustifiée et n’aurait jamais dû entrer en vigueur », d’expliquer Roxanne L’Abbée, conseillère syndicale et coordonnatrice du secteur municipal au SCFP.

Pas seulement de mauvaises nouvelles

« Autrement, nous nous réjouissons de la décision de la Cour suprême de rejeter le pourvoi du procureur général du Québec, ce qui a pour effet de maintenir la décision de la Cour supérieure et de la Cour d’appel, eu égard aux retraités. En effet, il est maintenant clair que la suspension de l’indexation automatique des rentes des retraités est inconstitutionnelle », de préciser Marie-Hélène Bélanger, directrice du SCFP-Québec.

Le SCFP mettra donc tout en œuvre pour que les retraités puissent retrouver leur droit à l’indexation automatique de leur rente qui avait été suspendu, incluant les dommages qu’ils ont subis.

Une décennie devant les tribunaux

La décision de la Cour suprême met fin à une décennie de contestations judiciaires, de mobilisation et de luttes syndicales pour faire reconnaître le droit à la libre négociation.

La cause remonte à l’adoption de la loi en décembre 2014, sous le gouvernement libéral, qui avait imposé le partage à 50/50 des déficits des régimes de retraite dans le milieu municipal. La loi prévoyait également la non-indexation des rentes.

Une vaste coalition formée d’employés municipaux de partout au Québec avait été créée dès le mois de mars 2013 pour revendiquer le droit à la libre négociation.

2024-04-10

Forum intersyndical des syndicats de la STM

Unis, nous sommes plus forts! C’est d’autant plus vrai en période de négociations.

Les conventions collectives des différents secteurs de la Société de transport de Montréal arrivent à échéance en janvier 2025 ou en janvier 2026. Combinées, elles définissent les conditions de travail de plus de 9 000 employés.

C’est pourquoi le 8 avril dernier, le premier forum intersyndical réunissant les représentants et les conseillers syndicaux des 6 accréditations s’est tenu en prévision des négociations qui se dérouleront en 2024 et 2025.

L’objectif était d’établir un premier contact et d’entamer les discussions sur les enjeux que représentent les négociations pour chaque secteur. Bien que nos secteurs d’activités soient différents, nos enjeux se rejoignent sur plusieurs points.

Nous avons senti une réelle volonté de chaque partie de faciliter les échanges et de mettre en place des voies de communications efficaces pour nous permettre d’œuvrer dans le même sens.

Nous sommes persuadés que cette première rencontre n’est que le début.

« Seul, on va plus vite. Ensemble, on va plus loin. » Ce proverbe africain prend tout son sens dans ce contexte.


De gauche à droite sur la photo, les présidents syndicaux : Stéphane Lamont (SCFP 2850, Personnel administratif, technique, professionnel), Kevin Grenier (Fraternité des constables), Frédérick Therrien (SCFP 1983, Chauffeurs, opérateurs, agents de station), Marcin Kazmierczak (conseiller syndical), Bruno Jeannotte (CSN-Entretien), Frabrizio Graziani (CSN-Commis), Marc Glogowski (SEPB 610)


2024-03-18

Les sociétés de transport attendent d'être mieux financées

Cliquez ici pour consulter l'article paru dans Le Devoir

Retranscription intégrale du communiqué

Camille Laurin-Desjardins
Collaboration spéciale

16 mars 2024


Photo: Renaud Philippe Archives Le Devoir


« C’est prouvé que quand on investit dans le transport collectif, on investit dans l’économie », souligne le président du CPSTT, Simon Mathura.


Ce texte fait partie du cahier spécial Syndicalisme

Ce n’est un secret pour personne : la pandémie s’est révélée être un sacré bâton dans les roues du transport collectif. Et alors que les différentes sociétés de transport du Québec tentent encore de se remettre de ce coup dur, dans un contexte environnemental critique, elles attendent toujours un meilleur financement de la part du gouvernement du Québec, s’insurge le Conseil provincial du secteur transport terrestre (CPSTT).

« À mon avis, on est à la croisée des chemins, lance le président du CPSTT, Simon Mathura. Il faut prendre une décision de société. Est-ce qu’on veut prendre notre voiture, même si elle est électrique, et être pris dans le trafic ? Ou on veut un service de transport collectif efficace et fréquent, qu’on va pouvoir prendre sans trop de complications ? »

Pour que les usagers délaissent leur voiture, l’offre de service quotidienne du transport collectif doit être mieux financée, affirme M. Mathura. « Le gouvernement finance les grands projets, par exemple le service rapide par bus (SRB) sur Pie-IX ou le prolongement de la ligne bleue à Montréal, mais il ne finance pas l’offre de services au jour le jour. Combien d’autobus vont passer ? À quelle heure ? déplore-t-il. Et ça, c’est à Trois-Rivières, à Châteauguay… À la grandeur du Québec. »

« La spirale de la mort »

Évidemment, depuis la pandémie, les revenus tirés des titres de transport sont à la baisse dans les différentes sociétés de transport de la province, ce qui représente une partie importante de leur financement. Elles se voient donc dans l’obligation de couper dans leurs services.

« On appelle ça la spirale de la mort, explique le président du CPSTT. Moins tu as de services, moins tu as d’usagers. Moins tu as d’usagers, moins tu as d’argent. Ce qui veut dire moins d’argent pour réinvestir dans le transport collectif. »

Le président du conseil d’administration de la Société de transport de Montréal (STM) avait d’ailleurs évoqué une « spirale vers le bas » à l’automne dernier, en précisant qu’il serait de plus en plus difficile d’éviter de comprimer les services. La STM avait entamé l’année 2023 avec un manque à gagner de 78 millions de dollars, qu’elle a réussi à réduire au cours de l’année.

Un peu plus tôt, en octobre dernier, la ministre des Transports et de Mobilité durable, Geneviève Guilbault, avait affirmé que la contribution de Québec pour éponger le trou financier des sociétés de transport de la province, estimé à 2,5 milliards de dollars pour les 5 prochaines années, ne dépasserait pas 20 %.

Un choix que ne s’explique pas Simon Mathura. « C’est prouvé que quand on investit dans le transport collectif, on investit dans l’économie », tranche-t-il.

À l’inverse, quand l’offre de services n’est pas financée à juste titre, cela a pour effet de réduire les temps de parcours, explique M. Mathura, qui cite en exemple la STM, où il travaille depuis 15 ans.

Pour un trajet qui devrait prendre 50 minutes, par exemple, en respectant les limites de vitesse, le code de la sécurité routière et le confort des usagers, la société de transport va prévoir un temps de 47 minutes, ce qui nécessite moins de chauffeurs dans une journée, détaille-t-il. « Ça fait en sorte que les bus sont en retard et qu’ils sont pleins à craquer… C’est pour ça qu’on voit souvent le phénomène du « bus bunching » (« groupage d’autobus », en français) : trois autobus qui arrivent en même temps. Tout le monde est dans le premier, et les deux autres bus en arrière sont vides. »

Le genre de situation qui cause beaucoup de frustration chez les usagers et ne les incite pas à favoriser le transport en commun, évidemment.

Investir dans « un choix de société »

Simon Mathura espère concrètement que le transport collectif devienne « un choix de société » pour le gouvernement provincial.

« On est en train de faire le changement des voitures à essence vers les voitures électriques, et c’est bien… Mais ça ne fait pas moins de voitures sur la route ni moins de congestion. Un autobus, ce sont 50 voitures qu’on enlève de la route. Et pour l’avoir pris dans plusieurs autres villes partout au monde, quand le transport collectif est facile à prendre, tu le prends ! »

Pour le président, le transport collectif ne doit pas être considéré comme un moyen de déplacement pour les moins nantis. « Il faut que ce soit pour tout le monde. Quand le transport collectif est plus efficace qu’une voiture, les gens le prennent ! Quand ils voient l’autobus passer dans la voie réservée alors qu’ils attendent dans leur auto… Ils vont se dire : “Peut-être que je devrais le prendre, moi aussi !” »

Ce contenu a été produit par l’équipe des publications spéciales du Devoir, relevant du marketing. La rédaction du Devoir n’y a pas pris part.


2024-03-15

Colloque sur l’énergie : « on peut rater la transition juste »

Cliquez ici pour consulter le communiqué sur le site de SCFP National

Retranscription intégrale du communiqué


Plus de 200 personnes se sont déplacées au Palais des congrès de Montréal ce matin pour écouter des spécialistes présenter de nouvelles données sur les dangers de la privatisation des services publics d’électricité. Chiffres à l’appui, les différents chercheurs démontrent que l’enlignement de la CAQ dans le secteur énergie augure mal d’un point de vue socioéconomique.

« Notre joyau collectif est en train d’être dilapidé indirectement. La mission d’Hydro-Québec a été dénaturée par la réintégration du privé dans le secteur de l’énergie et les citoyennes et citoyens du Québec n’en sortent pas gagnants. Hydro-Québec nous parle d’une transition juste, mais on peut rater la transition juste! » d’avertir Pierre-Guy Sylvestre, économiste et conseiller au SCFP.

Les participant(e)s qui venaient de divers syndicats, de partis politiques, de groupes environnementaux et de groupes communautaires ont écouté des intervenants de l’Institut de recherche en économie contemporaine, de l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques et de Jean‑François Blain, analyste senior en énergie.

« En gros, les spécialistes nous confirment que le gouvernement brade au rabais notre capacité énergétique sans avoir fait une réelle planification pour le secteur. L’entêtement idéologique du gouvernement Legault favorise les acteurs du privé et ainsi dépouille les finances publiques des ressources nécessaires pour nos services publics », d’ajouter Pierre‑Guy Sylvestre.

Le colloque d’une demi-journée était organisé par le SCFP qui représente 16 000 personnes salariées chez Hydro-Québec.

2024-03-07

Journée internationale des droits des femmes : 8 mars 2024


Le 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, continue d’être un des temps forts en actions féministes à la FTQ. C’est un moment privilégié pour célébrer entre nous nos victoires comme travailleuses et comme femmes. On en profite aussi pour faire des bilans, réfléchir ensemble, échanger, s’encourager, se mobiliser. C’est donc plus qu’un symbole et, dans un contexte de transformations, d’instabilité, de remises en question de nos acquis, il conserve encore toute sa pertinence.

Le thème du 8 mars 2024 : Ça gronde

Ça gronde en dedans, ça gronde en dehors, ça gronde partout. Partout, les inégalités. Partout, les violences. Partout, les crises. Crise climatique, crise du logement, crise de nos services publics, crise de confiance en nos systèmes. Nos systèmes défaillants, dépassés, à bout de souffle. Nous aussi, on est à boutte. En colère. Et on a peur, parfois. C’est vrai, notre feu pourrait s’éteindre, anéanti par nos peines et nos pleurs. Mais non. Il s’attise, il grandit. Il se nourrit des luttes des unes, s’alimente de l’indignation des autres. Ça gronde, ça bouillonne et ça fulmine. Ça explosera. Ça explose déjà de ce feu qui peut soigner, qui peut solidariser. De ce feu qui peut tout changer.

L’épinglette : symbole des luttes féministes

En portant l’épinglette du 8 mars, nous affirmons que nous sommes féministes et affichons notre volonté de poursuivre la lutte pour l’égalité et la justice en solidarité avec toutes les femmes.

2024-03-05

Campagne contre la privatisation des services publics d’électricité au Québec

Cliquez ici pour consulter le communiqué sur le site de SCFP Québec


NOUS VOUS INVITONS À COMPLÉTER LE FORMULAIRE DE LA CAMPAGNE POUR FAIRE PRESSION SUR LE GOUVERVEMENT SUR LE SITE DU SCFP Qc EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI-HAUT


Retranscription intégrale du communiqué


Le SCFP mène une campagne contre la privatisation des services publics d’électricité au Québec. Avec l’approche préconisée par le ministre de l’économie, de l’innovation et de l’énergie et avec la complicité du président directeur général d’Hydro-Québec, les sections locales représentant plus de 16 000 personnes salariées de la société d’État n’ont pas d’autres choix que dénoncer des décisions politiques qui feront reculer le Québec d’un point de vue socioéconomique.

Cette page recueille les informations pertinentes et convaincantes au sujet de la nécessité de garder nos services d’électricité publics destinées aux personnes membres du SCFP, de la FTQ et bien entendu, à l’ensemble de la population québécoise.

Vidéo : Hydro-Québec : mmetons nos énergies à la bonne place

Argumentaire contre la privatisation des services publics d’électricité

Pourquoi une privatisation des services publics d’électricité est-elle une mauvaise politique économique?

1. Le privé n’est pas plus efficace que le public
En économique, il n’est pas démontré que le privé est plus efficace que le public, pour les services publics. Que ce soit pour la gestion de l’eau, les services d’électricité ou même la collecte des déchets, il n’y a pas d’évidence que les prix diminuent suite à une privatisation ou que la qualité du service augmente. C’est plutôt le contraire. Pour la gestion de l’eau, la qualité diminue lorsque les services sont privatisés car les entreprises n’ont aucun incitatif à investir dans le réseau, ce qui cause également une hausse des coûts. Pour les services d’électricité, on observe même une augmentation des prix suite à une privatisation de l’industrie. Pour les PPP de centres hospitaliers, de centres sportifs, d’autoroutes ou même d’universités, l’expérience démontre plutôt que les coûts augmentent et que la qualité des services diminue.

2. Le financement privé est plus cher que le financement public
Les organismes publics, les États et les municipalités peuvent obtenir du financement à un coût inférieur à celui des entreprises privées. En effet, les taux d’intérêts sur les emprunts publics sont moins élevés. De plus, la récente crise financière a augmenté cet écart entre le privé et le public. Par exemple, lorsqu’une ville emprunte directement pour construire un aréna, elle paie environ 2 % de moins qu’une entreprise privée. Sur une vingtaine d’année, la différence est importante. Avec un PPP, c’est comme si la ville payait pour qu’un entrepreneur privé emprunte à sa place, à des taux plus élevés. La différence sera inévitablement payée par les contribuables.

D’ailleurs, selon Pierre Beaudoin de Bombardier : « [Les PPP] ne devraient pas être une solution globale pour les investissements dans les infrastructures parce que c’est une façon indirecte d’augmenter les impôts et les taxes. » (1) En effet, comme le partenaire privé paiera plus cher, le partenaire public n’aura d’autre choix que d’augmenter ses propres revenus pour payer le partenaire privé. À titre d’exemple, Dominion Bond Rating Service (DBRS) rapportait que le consortium Accès Recherche Montréal L.P., partenaire privé du PPP pour le Centre de recherche du CHUM de Montréal, paiera un taux d’intérêt de 7,067% alors que le public aurait pu obtenir un taux d’intérêt de 4,762% (2).

3. Le manque de transparence des contrats et la rigidité de ceux-ci favorisent la collusion
La collusion, c’est lorsque des entreprises s’entendent afin de diminuer la concurrence. Lorsqu’il n’y a pas de transparence, autrement dit, lorsque les citoyens ne peuvent avoir accès aux ententes entre les partenaires privés et publics et que les termes du contrat sont secrets, la collusion et les bénéfices de la concurrence disparaissent. Pire, on assiste à une privatisation sans véritable concurrence. De plus, lorsque les contrats sont signés, rien n’empêche le partenaire privé de choisir ses sous-traitants selon ses propres critères, sans concurrence.

Histoire des services d’électricité au Québec

XIXème siècle

1800 :Alessandro Volta, physicien et chimiste italien, invente la pile voltaïque constituée de couches alternées de zinc et de cuivre, séparées par du carton imbibé d’eau.
1831 : Michael Faraday, physicien et chimiste britannique, formule la loi de l’induction électromagnétique, fondamentale pour la génération et la transmission de l’électricité sur de longues distances.
1879 : Thomas Edison, inventeur et entrepreneur des États-Unis, invente et commercialise l’ampoule électrique.
1882 : Mise en service de la Pearl Street Station à New York par la Edison Illuminating Company, fondée en 1880, marquant une étape cruciale pour le développement de l’industrie naissante de de la production et de la distribution de l’électricité.
1897 : Mise en service de la centrale électrique à la vapeur de la rue De La Montagne, par la Montreal Light, Heat and Power Company.
1898 : Fondation de la Shawinigan Water and Power Company, qui sera l’entreprise la plus importante de production, de transport et de distribution d’électricité pendant plus d’un demi-siècle au Québec. En 1902, la centrale hydroélectrique Shawinigan-1 est mise en service.
1902 : Création de l’Alcan

Du « Trust » de l’électricité à la création de la Commission électrique du Québec en 1944

Jusqu’à 1944 : Monopoles régionaux à Montréal et dans le reste du Québec surtout par la Montreal Heat and Power Company et la Shawinigan Water and Power Company, mais aussi la Quebec Power, la Southern Canada Power, la Saint-Maurice Power, la Gatineau Power, la Compagnie de pouvoir du Bas-Saint-Laurent, la Compagnie électrique du Saguenay, la Northern Quebec Power, a Compagnie électrique du Saguenay, la Northern Québec Power, la Compagnie électrique de Mont-Laurier, la Compagnie électrique de Ferme-Neuve et la Compagnie de pouvoir de La Sarre.
Avec la Northern Aluminium Company (qui deviendra Alcan), la Belgo-Canadian Pulp and Paper Company (plus tard Abitibi-Consolidated)
14 avril 1944 : La Loi 17 établissant la Commission électrique du Québec est adoptée par le gouvernement libéral mené par Adélard Godbout , la Montreal Heat and Power, la Montreal Island Power ainsi que la Beauharnois Light, Heat and Power Company sont nationalisées. Cette politique économique visait à rendre les réseaux plus stables, de fournir le service en zones rurales et d’abaisser les tarifs injustement surélevés.
8 août 1944 : L’Union nationale de Maurice Duplessis remporte les élections. Le mandat d’électrification rurale est repris par la nouvelle société d’État.

Vidéo : Retour sur les 75 ans d'histoire d'Hydro-Québec

Radio-Canada, 12 avril 2019 et mis à jour le 30 août 2022. « Les débuts de la nationalisation de l’électricité au Québec en 1944 », Archives. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1163359/nationalisation-electricite-hydro-quebec-histoire-archives

Jacques Rouillard, « Aux sources de la Révolution tranquille : le congrès d’orientation du Parti libéral du Québec du 10 et 11 juin 1938 », Bulletin d’histoire politique,‎ 2015, p. 125 à 158

« Maîtres chez nous » et la nationalisation de l’électricité au Québec : une ère nouvelle
1944 : Création de la Commission hydroélectrique du Québec (CHEQ) qui élargit sa production hydroélectrique et son réseau de distribution.
1959 : Le parti libéral alors dirigé par Jean Lesage, remporte les élections.
1962 : La Commission d’enquête sur les ressources naturelles et le développement industriel au Québec, présidée par Robert A. Tanguay, ingénieur, recommande la nationalisation des services d’électricité au Québec.
1963 : Création de la Régie de l’énergie.
14 avril 1963 : la Loi sur la Régie de l’énergie hydroélectrique (Loi 16) est adoptée et vise la transition de la production et de la distribution vers une gestion publique. Les services d’électricités sont dorénavant publics.

 

Communiqués de presse :

Service d’électricité : le privé prend toujours plus de place (29 janvier 2024)

Privatisation des services publics d’électricité au Québec : « Personnes élues du Québec, levez-vous! » (19 janvier 2024)

Hydro-Québec : la privatisation des services d’électricité est une réalité (16 janvier 2024)

Campagne publique contre la privatisation d’Hydro-Québec (scfp.qc.ca) (8 janvier 2024)

2024-03-04

Campagne de publicité - TOUT A GAGNER avec un transport collectif bien financé

Vous n'êtes pas sans savoir que le transport collectif manque cruellement de financement depuis plusieurs années. C'est d'ailleurs L'une des principales raisons de la deuxième vague de la réorganisation à la STM, avec les impacts que nous connaissons.

C'est pourquoi le Conseil Provincial du Secteur Transport Terrestre du SCFP (CPSTT), regroupant les 19 sections locales des différentes sociétés de transport à travers le Québec, diffuse une campagne de publicité d'envergure : TOUT À GAGNER Avec un transport collectif bien financé.

La publicité radio est déjà en diffusion, les affiches sur les bus et abribus sont déployées et les annonces web sur les différents médias sont aussi en cours.



2024-02-26

Nos employés en relocalisation

Le couperet est tombé : 59 postes de notre accréditation ont été abolis, dont 22 postes occupés par des employés. Cela veut dire une plus grande charge de travail répartie entre nos membres et que 19 personnes sont en relocalisation.

Nous comprenons qu’une réorganisation d’une telle ampleur ne se fait pas sans heurts, que les défis à relever sont immenses et que l’objectif à atteindre est ambitieux.

Nous avions espoir que cette « STM plus humaine » serait… plus humaine. Tant avec les employés qui ont perdu leurs postes qu’avec ceux qui voient leur charge de travail augmenter ou qui doivent collaborer avec des partenaires mécontents des changements apportés. Malheureusement, ce n’est pas le cas.

Soyons francs : la gestion de cette crise est chaotique.

La STM a pris la décision de réduire sa masse salariale en 2023. Cependant, elle n’a pas jugé pertinent d’entamer les discussions avec ses partenaires syndicaux en amont afin de trouver des solutions pour minimiser les impacts sur les employés susceptibles d’être touchés, plus particulièrement par les abolitions de postes.

Nous estimons qu’elle était consciente qu’il n’y aurait pas que des postes vacants qui seraient abolis. Pourquoi avoir attendu que les dés soient jetés pour nous contacter et nous demander d’être accommodants pour pallier aux impacts de ses propres décisions ?  Nous avons tenté à plusieurs reprises d’être impliqués dans le processus afin de mieux supporter nos membres, mais la STM n’a pas répondu favorablement à nos demandes.

Nous comprenons mal le manque de vision et d’empathie de la STM pour les employés touchés par ces changements majeurs. Est-ce ainsi qu’elle compte être plus performante? Est-ce le résultat d’un mode de gestion transversal et matriciel?

Nous sommes convaincus que l’employeur aurait eu tout à gagner à prévoir ces enjeux et à travailler en collaboration avec ses partenaires syndicaux. Malheureusement, encore une fois, on vient cogner à notre porte de façon tardive.

Bien que nous voyions d’un bon œil la mise en place de ressources dédiées pour accompagner les employés en relocalisation, nous remarquons un manque flagrant de planification et de coordination.

La STM est la première à vouloir suivre tous les processus prévus aux conventions collectives, sans aucun assouplissement ou très peu, à moins que cela ne soit à son avantage. On sent qu’elle est en mode « urgence » pour replacer nos membres en relocalisation. Ceux-ci, en plus d’être ébranlés à la suite de la perte de leurs postes, se sentent pris de court dans ce processus. Cette situation est très déstabilisante et anxiogène. Nous sommes présents pour bien les accompagner dans ce contexte.

Pour reprendre la métaphore fétiche de l’employeur depuis le début de cette interminable saga qu’est la réorganisation : nous construisons l’avion en plein vol.  Dommage qu’en plus, il ne semble pas y avoir de plan de vol.

Soyez certains que nous restons à l’affût de la situation et de vos préoccupations. Nous sommes en mode collaboration avec l’employeur, mais pas au détriment de nos conditions de travail.

N’hésitez pas à nous contacter pour toute information supplémentaire.

Restons forts et unis!


Votre Exécutif,

 

Stéphane Lamont, président,

Denis Tremblay, vice-président par intérim,

Barbara Mailhot, secrétaire-trésorière remplaçante,

Katherine Bouclin, secrétaire-archiviste.



Le tract est disponible en version pdf ICI

2024-02-02

Les dernières coupures à la STM…

Nous, le SCFP 2850, souhaitons apporter des précisions importantes concernant l'annonce faite par la Société de Transport de Montréal (STM) relative aux coupes budgétaires et à la réduction de postes.

À la suite de l'annonce de la STM de réduire sa masse salariale, entraînant l'abolition de plus de 230 postes pour combler un déficit budgétaire, il est essentiel de souligner que, dans le cadre de cette réduction, qu’environ 60 postes relevant de notre accréditation sont affectés. Sur ces 60 postes supprimés, 23 étaient des postes titularisés, impactant directement 21 de nos membres salariés permanents qui feront l'objet d'une relocalisation et 2 de nos membres occupant des postes temporaires qui, malheureusement, perdront définitivement leur emploi.

Ces chiffres mettent en lumière l'impact considérable de ces décisions sur nos membres et soulignent la nécessité d'un dialogue plus ouvert et transparent entre la STM et le syndicat. La perte de ces postes, particulièrement ceux permanents, déstabilise non seulement la vie professionnelle de nos membres mais porte également atteinte à la qualité du service offert à la population montréalaise ???

Nous déplorons que la STM n'ait pas suivi les engagements de transparence et de dialogue qu'elle avait pris envers notre syndicat. Une annonce de cette ampleur aurait dû être précédée d'une consultation approfondie avec le syndicat, permettant d'explorer toutes les alternatives possibles à la suppression de postes et à la relocalisation de nos membres.

Le Syndicat 2850 reste ferme sur sa position que la question de fond dans cette situation est le manque et la diversité du financement public dans les transports collectifs, reflétant un choix politique qui nécessite une révision urgente. La STM et les autorités concernées doivent reconnaître l'importance de maintenir des emplois stables et de qualité au sein du secteur des transports publics, essentiels pour le bien-être de la communauté et pour une lutte efficace contre les changements climatiques.

Nous exigeons que la STM engage immédiatement un dialogue constructif avec le syndicat pour revoir les décisions prises et pour évaluer toutes les solutions alternatives possibles afin de minimiser l'impact sur nos membres et sur le service public.

Compte tenu de l'absence de transparence de la STM, qui ne nous a pas fourni toutes les informations de manière claire, nous avons élaboré un tableau à partir des données accessibles que nous avons réussi à obtenir. Ce tableau offre une vue d'ensemble des réductions effectuées, un document que la STM ne nous a jamais officiellement présenté. Ci-joint.

Pour toute information supplémentaire ou soutien, veuillez nous contacter.

 

Votre Exécutif !

 

Stéphane Lamont, président,

Denis Tremblay, vice-président par intérim,

Barbara Mailhot, secrétaire-trésorière remplaçante,

Katherine Bouclin, secrétaire-archiviste.

 

2023-11-30

Message du président - Retour sur la Webdifusion du 29 novembre 2023


Bonjour à vous, membres du SCFP 2850,

Nous sommes, tout comme vous, très préoccupés par les propos tenus par Mme Léonard lors de la Webdiffusion d’hier, 29 novembre.  D’autant que pour le moment, aucune information concrète n’est disponible, sauf la coupure de 5% de la masse salariale.

La coupure de 5% de la masse salariale, principalement dans les groupes « accélérateurs », nous laisse croire que notre accréditation sera durement touchée.  Est-ce que, comme déjà mentionné à quelques reprises, seuls les postes actuellement vacants seront coupés ?  Nous n’avons aucune confirmation pour le moment. 

Vous vous demandez probablement pourquoi et comment supprimer des postes vacants générerait des « économies ».  Il faut savoir que la majorité des postes sont « prévus » au budget d’exploitation, sans égard qu’ils soient occupés ou non.  Par conséquent, pour toutes suppressions de postes, il en résulterait une économie budgétaire.  Et c’est son budget que la STM doit équilibrer !

Sachez toutefois que, malgré le contexte financier difficile, la convention collective est toujours valide !  Advenant des suppressions de postes ayant des titulaires permanents, notre clause de non mis à pied s’applique (annexe H).  Un processus de relocalisation s’entamerait alors, selon les modalités prévues à la convention.  La convention est très claire : La STM doit tout mettre en œuvre pour permettre aux salariés affectés de s’adapter !!! (Art. 21)

Je vous invite à prendre connaissance du communiqué du SCFP Québec ainsi que l’article suivant :

https://scfp.qc.ca/communiques/suppression-de-postes-a-la-stm-inquietude-parmi-les-syndiquees/

https://www.journaldemontreal.com/2023/11/30/la-stm-va-abolir-plus-de-250-postes

Nous avons sollicité une rencontre avec notre vis-à-vis afin de connaître l’ampleur des coupures et autres « dommages collatéraux ».  Nous ne nous attendons pas à avoir des réponses à tout cela rapidement.  Puisque, si nous avons bien compris le message d’hier, même la haute direction n’en connaît toujours pas la finalité.

Soyez assurés que nous suivrons de près l’employeur dans ce dossier. 

Ensemble, restons fort et unis !!


Stéphane Lamont, président

2023-11-20

De réels économies ou une histoire d’image ?!


Comme vous, nous avons appris mercredi matin en quoi consiste les « nouveaux engagements » de l’employeur pour économiser.

Encore une fois, les employés sont avisés après les médias !!  Pour quelle raison ? Pour garantir l’exclusivité médiatique ? Qu’en est-il du respect des employés…?  Les employés qui sont anxieux en raison de la réorganisation qui ne finit plus, apprennent par les médias, en buvant leur café, que la STM songe à abolir 122 postes.  Ça, c’est notre WOW !!!

Leurs solutions ?!

Abolir des postes vacants

Dans l’absolu c’est une idée intéressante puisqu’elle laisse entendre qu’il n’y aurait pas de mise à pied.  Mais est-ce réellement une solution viable ? À court terme, peut-être… On se souvient tous du dernier gel d’embauche. 

Toutefois plusieurs secteurs manquent cruellement de ressources et les ressources en place sont déjà à bout de souffle.   

Pendant que la STM songe à abolir ces postes, elle continue à accueillir des consultants et des firmes externes sous prétexte que c’est moins contraignant !  Stopper cette sous-traitance serait déjà une piste de solution pour faire des économies !

Annuler le party des fêtes…

On serait vraiment curieux de connaître les détails du contrat qui liait la STM au MTelus.  Annuler un tel évènement à moins d’une semaine de préavis ne doit pas être très économe.  Parions que la STM devra tout de même payer la totalité de la facture et, peut-être, des pénalités pour rupture de contrat !!!  

Cette décision laisse planer un doute sur la manière dont notre employeur valorise le bien-être de ses employés.  Le Party des fêtes est l’occasion de reconnaître le travail des employés, de les rassembler et de les mobiliser… surtout après une année comme nous venons de passer.  

Peut-être des pistes d’économie à regarder…

Personne ne parle de la multiplication des gestionnaires et l’ajout de niveau de gestion ou de la mise en place de la gestion en matricielle…  Nous serions curieux de connaître la masse salariale du CODIR, CODIR Élargi et de tous nos gestionnaires avant et après !! Sans oublier les gestionnaires externes qui, eux aussi, se multiplient.

La réorganisation que nous subissons depuis le début 2023 et qui n’est pas près de se terminer aurait pour objectif d’être plus performants ?!  Effectivement… Combien d’entre vous ont travaillé sur des projets qui ne verront jamais le jour ou des dossiers qui sont repoussés aux calendes grecques !?  Est-ce être performant? On peut en douter!

Ce que la STM aura gagné depuis les derniers mois et avec certaines décisions, c’est de nous démontrer que son « côté humain », elle le cherche encore. 


Votre Exécutif !

 

Stéphane Lamont, président,

Denis Tremblay, vice-président par intérim,

Katherine Bouclin, secrétaire-archiviste.


2023-11-14

Manifestation - Sous financement du transport collectif

DES SYNDICATS DES SOCIÉTÉS DE TRANSPORT MANIFESTENT DEVANT LES BUREAUX DE LA MINISTRE GUILBAULT


Cliquez ici pour consulter le communiqué sur le site de SCFP Québec

Retranscription intégrale du communiqué


Montréal, le 14 novembre 2023 – Plusieurs centaines de personnes membres du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) et de la Confédération des syndicats nationaux (CSN) manifestent cet avant-midi pour envoyer un message fort à la ministre des Transports et de la Mobilité durable, Geneviève Guilbault, et à son gouvernement. Ces syndicats réclament des investissements importants dans le transport collectif.

Pour le SCFP et la CSN, le gouvernement caquiste doit en faire davantage pour soutenir les sociétés de transport collectif du Québec. Les syndicats du secteur demandent au premier ministre Legault de faire le bon choix pour l’avenir du Québec et les générations futures, soit d’investir les sommes nécessaires pour assurer la qualité et l’efficacité du transport en commun au Québec.

D’ailleurs, les syndicats invitent le gouvernement à faire preuve d’honnêteté dans le calcul du 70 % des déficits des sociétés de transport qu’il est prêt à éponger.

« Le développement du transport collectif est crucial pour l’atteinte des objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre. Pourtant, la CAQ n’a pas de politique claire en la matière et c’est vraiment déplorable, constate la présidente de la CSN, Caroline Senneville. Le Québec a besoin d’un gouvernement novateur en ce qui concerne le transport public. Bien sûr, pour les travailleuses et les travailleurs du secteur, ajoute-t-elle, mais aussi pour toute la société. »

« Il faut que le transport en commun soit considéré comme le fondement de l’économie de demain. Nous demandons au gouvernement des solutions permanentes afin d’offrir un service de qualité à la population. Un financement adéquat permet ultimement aux ménages d’engranger des économies, puisque le transport constitue le deuxième poste budgétaire des familles québécoises, lesquelles sont déjà fortement affectées par le coût de la vie », a déclaré Marc Gingras, président du secteur Transport terrestre du SCFP.


À propos

La CSN représente plus de 4500 travailleuses et travailleurs dans le secteur du transport. La centrale syndicale est composée de plus de 1600 syndicats, elle défend plus de 330 000 travailleuses et travailleurs et prend part à plusieurs débats de fond de la société québécoise pour une société plus solidaire, démocratique, équitable et durable.

Comptant près de 135 000 membres au Québec, le SCFP représente 8540 membres dans le transport terrestre au Québec. Le SCFP est de plus présent dans les secteurs suivants : les affaires sociales, les communications, l’éducation, les universités, l’énergie, les municipalités, les sociétés d’État et organismes publics, le transport aérien, le secteur mixte, le transport maritime ainsi que le secteur incendie. Il est le plus grand syndicat affilié à la FTQ.

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Nous tenons à mercier tous ceux qui ont participé à la manifestation d'aujourd'hui !!!  C'est important de faire entendre nos voix et de défendre l'importance du transport collectif.  Non pas seulement pour nos emplois, mais aussi, et surtout, pour la clientèle qui a droit à un service de qualité à un tarif adéquat.

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Pour visionner les photos, c'est par ICI.


2023-11-09

Manifestation - Dénonciation de l'offre "finale" du financement du transport collectif


Bonjour à vous,

Le CPSTT (conseil provincial du secteur transport terrestre) organise une manifestation pour dénoncer l’offre « finale » du gouvernement concernant le financement du déficit des sociétés de transport.


Quand ?
Mardi 14 novembre 2023
10h00 à 12h00

Où ?
500 boul. René Levesque Ouest
Bureau du ministère des transports

Un sous financement du transport collectif met en péril nos prochaines négociations et nos emplois.
Moins de financement = moins de services !
Moins de services = moins d’employés aux opérations !
Moins d’employés aux opérations = moins d’employés en support aux opérations !
Et ainsi de suite…

Que vous soyez présent durant toute la manifestion ou uniquement un p’tit 15 minutes entre deux rencontres, votre participation est importante !!

En espérant tous vous y voir en grand nombre 😊

Votre exécutif
Stéphane Lamont, président
Denis Tremblay, vice-président (intérim)
Katherine Bouclin, secrétaire archiviste

2023-10-27

Réaction du SCFP 2850 à la suite de l’annonce de « …compressions monstres redoutées par les sociétés de transport de la région de Mtl ».

Au cours des dernières heures, nous avons appris comme vous, par le biais des médias (https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2021538/compressions-transport-collectif-montreal-deficit), que l’offre de service des sociétés de transport de la grande région de Montréal pourrait être affectée.

Nous avons eu une rencontre avec Mme Léonard et M Brière ainsi que les autres présidents syndicaux de la STM au sujet de cette sortie médiatique. Ils se sont voulus rassurant en nous confirmant qu’ils mettent tout en œuvre pour éviter les scénarios décrit dans médias. 

Nous tenons d’abord à exprimer toute notre solidarité envers nos confrères et consœurs des syndicats de chauffeurs du SCFP 1983 (STM), SCFP 5959 (Laval) et SCFP 3333 (Longueuil) en ces temps d’incertitude. (https://scfp.qc.ca/compressions-massives-dans-le-financement-du-transport-collectif-les-syndicats-des-chauffeurs-dautobus-en-colere/)

Comme les maires et mairesses de Montréal et ses banlieues (https://www.tvanouvelles.ca/2023/10/26/cadre-financier-du-transport-collectif-des-elus-lancent-un-cri-du-cur), nous dénonçons toutes formes de coupures qui viendraient affecter l’offre de service des grandes sociétés de transport.

Nous croyons que le transport collectif est un service publique essentiel qui mérite d’être financé à juste titre, à commencer par les grandes sociétés de transport.

Soyez rassuré que nous demeurons à l’affût de ce dossier.

Pour toutes questions, veuillez nous écrire à : messageofficiel@scfp2850.org

 

Votre Comité exécutif du SCFP 2850

2023-10-25

Financement du transport collectif – Le gouvernement Legault fait fausse route


Cliquez ici pour consulter lecommuniqué sur le site de SCFP National

Retranscription intégrale du communiqué


Le Conseil provincial du secteur transport terrestre du SCFP (CPSTT), lequel représente des milliers de chauffeuses et chauffeurs d’autobus et d’employé(e)s de bureau des sociétés de transport du Québec, réagit avec véhémence à la proposition du gouvernement caquiste d’acquitter seulement 20 % des 2,5 milliards de dollars en déficits anticipés des sociétés de transport collectif pour la période 2024-2028.

 

« Où sont passées les promesses de François Bonnardel, qui, lorsqu’il était ministre des Transports à l’automne 2021, s’était engagé à agir pour éviter les coupures de service? Pourquoi la nouvelle ministre des Transports, Geneviève Guilbault, ne respecte pas les promesses de son gouvernement? », se questionne Marc Gingras, président du CPSTT.

 

Le CPSTT croit que le gouvernement fait fausse route, car ce sous-financement se traduira par une baisse de service qui encouragera la population à opter pour la voiture plutôt que le transport en commun. Le Conseil rappelle que selon tous les experts, un financement adéquat jumelé à un service efficace ferait une différence dans la lutte au réchauffement climatique tout en permettant aux ménages d’engranger des économies. De plus, le transport constitue le deuxième poste budgétaire des familles québécoises déjà fortement affectées par le coût de la vie.

 

Rappelons que l’achalandage et les revenus tarifaires des sociétés de transport ont considérablement chuté en raison des bouleversements causés par la pandémie. Encore aujourd’hui, les sociétés de transport n’ont toujours pas retrouvé leur achalandage d’avant. L’arrivée du Réseau express métropolitain (REM) a entraîné aussi une baisse importante du financement des trois grandes sociétés de transport public de la région métropolitaine.

 

« Ce n’est pas seulement une question d’emplois, c’est aussi un choix de société que l’on doit faire. Un investissement dans le transport collectif amène des retombées socioéconomiques qui profitent à l’ensemble de la population et à l’économie québécoise tout en permettant d’offrir une alternative crédible à l’automobile », d’affirmer Marc Gingras.

 

Le CPSTT réitère sa demande à la ministre Guilbault de respecter les promesses de son prédécesseur, d’instaurer des mesures pour éviter toute nouvelle réduction de service ainsi que d’offrir de la prévisibilité budgétaire aux municipalités et aux sociétés de transport.


2023-08-02

LANCEMENT DU REM – CHRONOLOGIE D’UN ÉCHEC ANNONCÉ, SELON LE CPSTT


Cliquez ici pour consulter le communiqué sur le site de SCFP Québec

Retranscription intégrale du communiqué


 

31 juillet 2023 - Le Conseil provincial du secteur du transport terrestre du SCFP (CPSTT), lequel représente des milliers de chauffeuses et chauffeurs d’autobus et d’employé(e)s de bureau des sociétés de transport du Québec, profite du lancement raté du Réseau express métropolitain (REM), pour réitérer ses critiques à l’égard de ce mégaprojet privé de transport public.


Le CPSTT tient à rappeler qu’un investissement dans le transport collectif doit entraîner des retombées socioéconomiques qui bénéficient à la population et à l’économie québécoise tout en permettant de s’attaquer à l’urgence climatique.


Le REM ne répond tout simplement pas à ces objectifs, car le but principal de ce projet n’est pas d’augmenter le nombre d’usagères et d’usagers du transport en commun ni de desservir les quartiers enclavés de l’Est de Montréal, mais bien de générer des profits et du rendement sur l’investissement via les tarifs et, éventuellement, de favoriser le développement urbain.


Le CPSTT déplore également que parallèlement à l’injection de milliards de dollars de l’épargne des Québécoises et Québécois dans le REM, des compressions draconiennes dans le transport collectif ont été faites par le gouvernement Legault.


Ces coupures ont engendré la baisse du financement des trois plus grandes sociétés de transport public au Québec, soit le Réseau de transport de Longueuil (RTL), la Société de transport de Montréal (STM) et la Société de transport de Laval (STL).


« Nous assistons présentement à des réductions de service et à des scénarios de privatisation décidés à huis clos par l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) avec certaines sociétés de transport, ce qui risque de mettre davantage en péril la qualité du service tout en diminuant les conditions de travail de nos membres », a déploré Anthony Latour, président du Conseil provincial du secteur du transport terrestre du SCFP.


Rappelons que la réduction des services de transport collectif conduit à une baisse de l’achalandage et à une dépendance continue à l’automobile. Notons aussi que le transport constitue le deuxième poste budgétaire des familles québécoises.


Comptant près de 135 000 membres au Québec, le SCFP représente 8540 membres dans le transport terrestre au Québec.





2023-04-26

Sécurité des usagers et usagères et du personnel du transport collectif – le CPSTT appuie l’ACTU

CLIQUEZ ICI POUR CONSULTER LE COMMUNIQUÉ SUR LE SITE DE SCFPQUÉBEC

 RETRANSCRIPTION INTÉGRALE DU COMMUNIQUÉ



Montréal, le 26 avril 2023 – Le Conseil provincial du secteur du transport terrestre (CPSTT) du Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) donne son appui à l’Association canadienne du transport urbain (ACTU), laquelle a publié hier un ensemble de recommandations qui portent notamment sur la sécurité des usagers et usagères et du personnel dans les transports collectifs. Pour en savoir plus, cliquez ici.


Avec un nombre croissant d’incidents violents au cours des dernières années, l’organisme reconnaît la nécessité d’agir immédiatement pour assurer la sécurité de la clientèle et du personnel. L’ACTU a également invité tous les paliers de gouvernement à se joindre à la cause et à y apporter leur soutien.


Le président du CPSTT, Pino Tagliaferri, demande aussi à la ministre des Transports et de la Mobilité durable, Geneviève Guilbault, d’octroyer un financement adéquat aux sociétés de transport afin que celles-ci puissent rendre plus sécuritaires les réseaux et redonner le sentiment de sécurité aux usagers et usagères.


« Après plusieurs années, nous ne pouvons que constater le fait que le désengagement des gouvernements successifs sur les enjeux de santé mentale et d’itinérance ainsi que de consommation de substances illicites a eu un impact majeur sur le sentiment d’insécurité des passagers et passagères du transport en commun », affirme M. Tagliaferri.


Bien que l’achalandage du transport collectif s’améliore de manière constante à la suite de la pandémie, l’ACTU craint que la peur de la violence fasse dérailler la reprise tant attendue par les sociétés de transport, alors que ces dernières traversent une crise de financement.


L’achalandage national du transport collectif actuel représente environ 73 % de ce qu’il était avant la pandémie.


Comptant près de 135 000 membres au Québec, le SCFP représente 8540 membres dans le transport terrestre au Québec. Le SCFP est de plus présent dans les secteurs suivants : les affaires sociales, les communications, l’éducation, les universités, l’énergie, les municipalités, les sociétés d’État et organismes publics, le transport aérien, le secteur mixte ainsi que le transport maritime. Il est le plus grand syndicat affilié à la FTQ.

 

2023-03-27

BUDGET PROVINCIAL : LA CAQ MANQUE DE VISION ET D’AMBITION

CLIQUEZ ICI POUR CONSULTER LE COMMUNIQUÉ SUR LE SITE DE SCFP QUÉBEC

RETRANSCRIPTION INTÉGRALE DU COMMUNIQUÉ


22 mars 2023

Les dirigeants du SCFP-Québec sont déçus et déplorent que le budget du ministre Girard rate la cible. En effet, alors que la pandémie nous a démontré l’importance de nos services publics et que l’inflation a atteint des sommets dans les derniers mois, la CAQ en fait trop peu pour les travailleurs et travailleuses du secteur public.

« Le gouvernement Legault n’arrête pas de dire qu’il veut ramener des gens dans nos hôpitaux et nos écoles, mais à chaque occasion qu’il a, il refuse de poser les gestes qui feraient de lui un employeur de choix. Depuis plusieurs mois, les employé(e)s de la santé et de l’éducation voient leur pouvoir d’achat diminuer, alors on espère que dans les sommes promises aujourd’hui, le gouvernement arrivera à faire des offres conséquentes », a affirmé Frédéric Brisson, secrétaire général de l’organisation.

On peut faire le même constat du côté des municipalités de la province qui demandent depuis longtemps un appui financier plus important.

« Nos villes doivent de plus en plus gérer des enjeux que le fédéral et le provincial pellettent dans leur cour et les besoins en infrastructures sont criants. Malheureusement, les budgets, eux, ne suivent pas. Dans le cas du transport en commun, la situation est alarmante parce que ce gouvernement manque de vision. On salue les investissements promis, mais ce n’est pas suffisant », a ajouté Patrick Gloutney, président du SCFP-Québec.

« Au lieu d’offrir une réduction d’impôt qui n’aura pas d’impact pour la majorité des familles québécoises, le gouvernement Legault aurait dû être plus ambitieux et solidifier nos services publics », a-t-il conclu.

2023-03-10

Crise du financement des transports collectifs : le SCFP rencontrera le DG de l’ARTM

Cliquez ici pour consulter le communiqué sur le site de SCFP Québec

Retranscription intégrale du communiqué


Montréal, le 7 mars 2023 – Le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP) a réclamé et obtenu une rencontre avec le directeur général de l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM), M. Benoît Gendron.

C’est par la voix de son président, M. Patrick Gloutney, ainsi que de celles des président(e)s des syndicats représentant les chauffeurs(euses) d’autobus et employé(e)s de bureau du Réseau de transport de Longueuil (RTL), de la Société de transport de Montréal (STM) et de la Société de transport de Laval (STL) que cette demande avait été faite ce lundi.

La crise du financement des transports collectifs n’est pas étrangère à cette requête, puisque ces trois grandes sociétés de transport sont frappées de plein fouet par un manque criant de ressources.

Plusieurs estiment à 560 millions de dollars le trou budgétaire des sociétés de transport québécoises en 2023. Si rien n’est fait, ce déficit atteindra 900 millions de dollars en 2027, selon les mêmes sources.

L’objectif principal de cette rencontre vise donc à mieux comprendre les déclarations récentes de M. Gendron dans les médias quant aux changements qu’il compte apporter dans le transport collectif régional. Certains de ses propos ont contribué à créer de l’angoisse et de l’incertitude chez un grand nombre de syndiqué(e)s.

« Les usagers et usagères ainsi que nos membres travaillant dans les sociétés de transport risquent d’être les premier(ère)s à écoper de ce manque de financement. Déjà, on a observé à maints endroits des réductions de service. Les salarié(e)s commencent à être inquiet(e)s quant à l’avenir de leur emploi ainsi que de leurs conditions de travail », a déclaré Patrick Gloutney, président du SCFP-Québec.

Le SCFP considère que cette rencontre, prévue pour le 21 mars prochain, avec le DG de l’ARTM s’avérera bénéfique autant pour ses membres que pour la clientèle du transport collectif de la grande région métropolitaine.

Comptant près de 135 000 membres au Québec, le SCFP représente 8540 membres dans le transport terrestre au Québec. Le SCFP est de plus présent dans les secteurs suivants : les affaires sociales, les communications, l’éducation, les universités, l’énergie, les municipalités, les sociétés d’État et organismes publics, le transport aérien, le secteur mixte ainsi que le transport maritime. Il est le plus grand syndicat affilié à la FTQ.

2023-02-03

Tournée de vos secteurs

Bonjour chères et chers membres du SCFP 2850,

 

Nous prenons quelques minutes de votre temps pour vous informer que nous serons présents dans vos secteurs.  L'objectif étant de reprendre contact avec vous 😊

Nous aurons avec nous des calendriers et quelques "cadeaux" !!!

 

Le télétravail, les nombreux déménagements et les bureaux non assignés rendent nos tournées plus difficiles que par les années passées mais nous demeurons convaincus que nos nouvelles façons de faire vous conviendrons.  Bien évidemment, nous ne connaissons pas toutes vos journées de présentiel ni vos bureaux en mode partagés… alors soyez indulgeant avec nous et n'hésitez pas à nous communiquer votre réalité.

 

Alors pour les prochaines semaines, nous serons présents aux endroits et horaires suivant :

 

Mardi 7 février

PM – Tour GR 5e étage - Bureau du syndicat

 

Mercredi 8 février

Transport Adapté

10h à 14h - Tour GR 5e étage - Bureau du syndicat

 

Mardi 14 février

10h à 14h - Place Bonaventure (9e étage - Le Refuge)

 

Mercredi 15 février

9h à 10h - Caisse

10h00 à 14h - Place Bonaventure (9e étage - Le Refuge)

 

Jeudi 16 mars

10h à 14h - Tour GR 5e étage - Bureau du syndicat

10h à 14h - Place Bonaventure (9e étage - Le Refuge)

 

Pour le 2000 Berri et le 1080 Beaver Hall, nous serions en mesure d'y faire un saut, à la demande, avant ou après une de nos visites à Bonaventure.  Ou, encore, communiquer avec les délégués respectifs messieurs Martin Beaumier et Patrice Ma-Hive-Ning qui feront le lien avec nous.

 

Pour les autres qui êtes un peu plus décentralisés, dans les garages notamment, n'hésitez pas à communiquer avec votre déléguée, Mme Ghizlane Monadel.

 

D'autres dates s'ajouterons, rester à l'affût.

 

En espérant vous y voir en grand nombre !!!


Votre exécutif 

2022-10-07

Blitz 2022

Bonjour à toutes et à tous,

 

Tel que prévu à la convention collective sous l’article 9.06, il est maintenant le temps de transférer les journées de votre banque de maladie dans un REER du Fonds de solidarité FTQ ou bien à la Caisse des transports des employés de la STM selon votre préférence. Pour ce faire, vous devez passer nous voir ou prendre un rendez-vous Teams aux dates et endroits mentionnés ci-dessous. D’autres dates Teams peuvent s’ajouter à la demande des membres.

 

Blitz de transfert de la banque de maladie dans un REER.

 

Octobre :

 

17 : Rendez-vous virtuel de 9h00 à 14h00 avec Guylaine St-Pierre

19 : Rendez-vous virtuel de 9h00 à 14h00 avec Guylaine St-Pierre

25 : Cafétéria de Youville de 9h00 à 14h00

26 : Refuge syndical Portail Nord-Est à Bonaventure 9h00 à 14h00

 

Novembre :

 

1 :   Refuge syndical Portail Nord-Est à Bonaventure 9h00 à 14h00

2 :   Cafétéria de Youville de 9h00 à 14h00

3 :   Cafétéria de la Caisse de 11h00 à 13h00

9 :   Cafétéria du 2000 Berri de 9h00 à 14h00

10 : Cafétéria Youville de 9h00 à 14h00

 

Ou tout simplement en envoyant vos formulaires dûment complétés au local syndical par la poste ou courrier interne au 8635 St-Laurent 2e étage, Montréal Qc H2P 2M9 avant le 25 novembre 2022.

 

N’oubliez pas pour le transfert au Fonds de solidarité FTQ, il faut remplir les deux documents (formulaire art. 9.06 et formulaire de modification FTQ) que vous retrouverez sur le site web www.scfp2850.org et joint à ce courriel

 

 

 

ATTENTION : pour les nouveaux adhérents au Fonds de solidarité FTQ, vous devez absolument prendre un rendez-vous Teams avec vos représentants locaux : Stéphane Lamont ou Guylaine St-Pierre pour l’ouverture d’un compte en ligne qui prendra moins de 15 minutes.

 

 

N.B. Pour les questions qui concernent le fonds de pension STM, contacter le département du Régime de Retraite.

Par téléphone : (514) 280-5155 Du lundi au vendredi : 8h30 à 12h / 13h à 16h30  ou par courriel : monregime@stm.info

                                                                        

 

 

___________________________________________________________________________________________

 

Exécutif syndical SCFP2850  tél.:514-525-4121

Sylvain Forest : Président, poste #1

Stéphane Lamont : Vice-Président, poste #2

Sylvie Tousignant : Secrétaire Trésorière, poste #3

Katherine Bouclin : Secrétaire Archiviste, poste #4

scfp.2850

Syndicat du personnel administratif, technique et professionnel du transport en commun

___________________________________________________________________________________________

La solidarité est la base de notre succès et nous comptons sur vous pour qu’il en soit toujours ainsi.

 

 


2022-02-28

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